DÉMOCRATIE ET SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE
L'auteur développe une thèse selon laquelle la connaissance participe à la prospérité mais aussi à la qualité de la démocratie. Les échecs, tels que la crise économique ou les problèmes collectifs, ne sont pas imputables à un manque de volonté politique mais trouvent leurs origines dans l'insuffisance du savoir et dans son organisation déficiente.
Description
L'auteur développe une thèse selon laquelle la connaissance participe à la prospérité mais aussi à la qualité de la démocratie. Les échecs, tels que la crise économique ou les problèmes collectifs, ne sont pas imputables à un manque de volonté politique mais trouvent leurs origines dans l'insuffisance du savoir et dans son organisation déficiente.
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