FAUT-IL ÊTRE MINIMALISTE EN ÉTHIQUE ?
LE LIBÉRALISME, LA MORALE ET LE RAPPORT À SOI
La morale n'a-t-elle pour tâche que de limiter les effets négatifs de nos comportements sur les autres? En d'autres termes tout ce que nous faisons sans affecter la collectivité est-il éthiquement permis? Le suicide, la prostitution librement consentie, le don d'organes?
Description
La morale n'a-t-elle pour tâche que de limiter les effets négatifs de nos comportements sur les autres? En d'autres termes tout ce que nous faisons sans affecter la collectivité est-il éthiquement permis? Le suicide, la prostitution librement consentie, le don d'organes? Plusieurs éthiciens contemporains, emmenés notamment par le philosophefrançais Ruwen Ogien considèrent qu'il faut être minimaliste en éthique. Ce n'est pas l'avis de la Lausannoise Nathalie Maillard qui établit dans cet essai une morale relative au rapport à soi. Sur l'intégrité personnelle, l'authenticité, elle explique que des domaines excèdent un utilitarisme éthique inspiré d'un libéralisme articulé jusqu'à la caricature sur l'autonomie du sujet et l'individualisme. Une réflexion profonde permettant de mieux appréhender les grands débats de société actuels.
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