PRESCRIPTION CULTURELLE. AVATARS ET MÉDIAMORPHOSES (PAPIERS)
La prescription à l'âge du papier, c'était un avis autorisé; à l'âge numérique, on parle plus volontiers de recommandation. Dans tous les cas, une personne, au moins, cherche à partager son intérêt ou davantage pour un sujet ou une oeuvre donnée. Cette intention d'influence, ce soft power disséminé, se retrouve aussi bien chez les booktubers que chez les lecteurs de la Renaissance, elle passe de bouche-à-oreille, par la presse, les médias audiovisuels, le web ou les bibliothèques, elle concerne aussi bien les mauvais genres que lesmusées les plus institutionnels.
Description
La prescription à l'âge du papier, c'était un avis autorisé; à l'âge numérique, on parle plus volontiers de recommandation. Dans tous les cas, une personne, au moins, cherche à partager son intérêt ou davantage pour un sujet ou une oeuvre donnée. Cette intention d'influence, ce soft power disséminé, se retrouve aussi bien chez les booktubers que chez les lecteurs de la Renaissance, elle passe de bouche-à-oreille, par la presse, les médias audiovisuels, le web ou les bibliothèques, elle concerne aussi bien les mauvais genres que lesmusées les plus institutionnels. Quand le public prend le pouvoir de dire, le professionnel de la médiation a le devoir de s'y intéresser. Une équipe pluridisciplinairede vingt-cinq chercheurs propose ici la première approche d'ensemble de la prescription, en traversant différentes formes de culture.
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