AGRICULTURE ET GAZ À EFFET DE SERRE

Dix actions pour réduire les émissions
Auteur(s) PELLERIN SYLVAIN, BAMIERE LAURE, PARDON LENAIC

En France, l'agriculture représente environ 20 % du total des émissions de gaz à effet de serre. Limiter les émissions en provenancede ce secteur devient impératif. Dans ce contexte, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, le ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, le ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie ont demandé à l'Inra de réaliser une étude sur les possibilités d'atténuation de cesémissions.
ISBN13 9782759223145
51,95 $ CA

Description

En France, l'agriculture représente environ 20 % du total des émissions de gaz à effet de serre. Limiter les émissions en provenancede ce secteur devient impératif. Dans ce contexte, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, le ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, le ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie ont demandé à l'Inra de réaliser une étude sur les possibilités d'atténuation de cesémissions. Cet ouvrage propose dix actions ou pratiques agricoles permettant de limiter ces émissions sans modification lourde des systèmes de production, ni réduction importante de la production. Pour chacune d'elles, le potentiel d'atténuation ainsi que les coûts ou gains associés, sont estimés à l'horizon 2030, en tonnes équivalent CO2 évité pour le premier, en euros pour les seconds. Selon la méthodologie de chiffrage des émissions proposée, le potentiel d'atténuation annuelle de ces actions mises en œuvre simultanément s'élèverait à 32 millions de tonnes de CO2 équivalent. Un tiers serait atteint avec un gain économique pour l'agriculteur, enjouant sur des ajustements pour économiser les intrants. L'autre tiersaurait un coût modéré, les actions correspondantes nécessitant des investissements spécifiques ou des modifications de système de culturetout en donnant lieu à des réductions de charges ou à des coproduits valorisables. Le dernier tiers au coût important requiert des investissements sans retour financier direct, des achats d'intrants spécifiques, du temps de travail dédié et/ou implique des pertes de production plus conséquentes.

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